NOORDZEE – 10/10
Je ne suis jamais allé sur la côte belge. Jamais. Pourtant,
à la lecture de Noordzee Project par le collectif 10/10, paru aux
éditions Le Mulet, j’ai ce sentiment de déjà-vu que l’on ressent parfois de
manière fugace et indicible, fruit possible de l’imagination, ou réminiscences…
à la lecture de Noordzee Project par le collectif 10/10, paru aux
éditions Le Mulet, j’ai ce sentiment de déjà-vu que l’on ressent parfois de
manière fugace et indicible, fruit possible de l’imagination, ou réminiscences…
Dix photographes publient dix photographies d’ un lieu : La mer du nord, de La Panne à Zeebruges. Et peu à peu comme une carte mentale
onirique surgissent ces moments que nous pressentons : Kévin et NTM, des plages
battues de vent, des masques de carnaval au grotesque joyeux, l’odeur du monoï.
onirique surgissent ces moments que nous pressentons : Kévin et NTM, des plages
battues de vent, des masques de carnaval au grotesque joyeux, l’odeur du monoï.
La vie comme elle
est.
est.
La mise en page faîte de correspondances renforce l’ensemble.
La lecture fluide, lente, donne à voir, jamais n’impose.
La lecture fluide, lente, donne à voir, jamais n’impose.
Non, il ne s’agit pas
de reportage, moins encore de ces visites racoleuses de journalistes à la recherche
de la sensationnelle misère.
de reportage, moins encore de ces visites racoleuses de journalistes à la recherche
de la sensationnelle misère.
Non c’est un été-automne-hiver-printemps humain et populaire, naturel et
industriel. Les tropiques arrosés de Mort Subite.
industriel. Les tropiques arrosés de Mort Subite.
L’amour et une chanson de
Johnny.
Johnny.
C’est trivial et poétique.
C’est la vie encore une fois.
Site des éditions le Mulet